Soutenir les Archives du diocèse de Fréjus-Toulon au quotidien

Les Archives diocésaines assument des frais fixes qui découlent de leur fonctionnement naturel mais conditionnent également l’accomplissement de leur mission. Participer financièrement à cette charge permet ainsi de contribuer à l’évangélisation du diocèse par la redécouverte de sa mémoire spirituelle et culturelle.
Accueillant dans son centre diocésain des documents de toute nature (papier, photos, audio, vidéo, numérique, objets divers) et de toute origine (services diocésains, paroisses, communautés, associations, ecclésiastiques ou laïcs), le service utilise, dans la limite de ses moyens, le matériel professionnel permettant de conserver et de classer ces archives historiques selon les normes en vigueur (conteneurs et boites renforcées, dossiers et chemises à pH neutre etc.).

Le vieillissement de certains papiers comme des archives audiovisuelles (photographies, enregistrements sur bandes) voire de supports numériques (clef USB, CD, DVD, disc dur) entraine également un important travail de numérisation et de migration à des fins conservatoires, comme de retraitement au profit d’une consultation en ligne la plus large possible. Même accomplie en interne, cette tâche peut entraîner l’acquisition de matériel de numérisation ou l’abonnement à des logiciels spécifiques ; mais la numérisation des grands formats (plans, affiches etc.) et des collections périodiques notamment (Semaine Religieuse) ainsi que la mise en place de plateformes de consultation en ligne exigent aussi parfois l’intervention ponctuelle de prestataires extérieurs rémunérés.

Ces frais de fonctionnement demeurent bien inférieurs à la valorisation qu’ils permettent de l’héritage spirituel et culturel du diocèse. Y contribuer, même de façon modique, ne peut être qu’un investissement prudent et valorisant.

“Amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton coeur” (Matthieu, VI, 20-21)